samedi 3 novembre 2012

LES FACTEURS DE VULNÉRABILITÉ DE JEANNE 

Pour ce premier paragraphe, je me suis penchée sur un seul ouragan et la ville qu'il a détruit sur son passage.


Le 13 septembre, dans la zone tropicale de l'atlantique, Jeanne a prit la forme d'une dépression tropicale. Elle a atteint Haïti dans les jours suivant.

Haïti est reconnu comme l'un des pays le plus pauvre de l'ouest. Le climat est tropical et le territoire est principalement accidenté et montagneux.
Haïti se situent au milieu de la ceinture cyclonique et subit de grosses tempêtes de juin à octobre, des inondations occasionnelles, des tremblements de terre et des sécheresses périodiques.

Comme nous le savons, pour que l'ouragan prenne forme , il lui faut de l'eau chaude de 26 °C et plus, 50 mètres de profondeur et  la vapeur d'eau doit être et rester humide. Si on se fit à la situation géographique d'Haïti, il est bon de constater qu'un ouragan viendrait détruire ce pays.
Voilà le pourquoi de mes dires, les maisons ne sont pas bâties sur des bases solides et les ingénieurs ne construisent pas les bâtiments en conséquence des évènements catastrophique dût à leur condition financière. La population est pauvre, donc il est très difficile d'évacuer les lieux lors de tempête tropicale. De plus, dans les pays pauvres, les ressources électroniques sont restreintes. Finalement, sa situation géographique nous convainc que ce pays est à risque, puisque Haïti est au centre de la ceinture cyclonique.
J'ai lu quelques articles qui parlent de ce phénomène atmosphérique et il m'est rare de voir qu'il y a eu de la prévention face à cette catastrophe. Ce que je remarque le plus, c'est le secours qu'Haïti a eu après l'évènement. Par exemple, le Canada a envoyé de l'aide comme le Croix-Rouge pour aider les villages a reprendre vie. Mais pourquoi intervenir après et non avant ?

LES FACTEURS DE VULNÉRABILITÉ DES ÉTATS-UNIS

 Image : Comme nous pouvons contaster, les vagues ont rivés sur la rive. Des fenêtres et des portes sont barragadées.

Les États-Unis ont déboursés plusieurs dollars pour couvrir les dommages occasionnés par les ouragans. Trois facteurs principaux de vulnérabilité sont plus réalistes pour ce genre de catastrophe soit  les pressions démographiques, les effets de la pauvreté et de l'affluence, ainsi que divers autres changements écologiques qui exacerbent la violence et les effets d'un ouragan. Elles sont souvent dût à une malchance de la situation géographique de la ville habitée.

Il y a une augmentation et une rapidité de dévelopement des zones littorales , comme la construction de résidences et d'entreprises dans les zones fragiles. Les autorités des villes ont un rôle important, ils se doivent de secourire et d'évacuer si une telle catastrophe devait ce présenter. Les États-Unis étant une ville riche a pu prévenir et analyser ce genre de phénomène d'avance.
À vrai dire, si l'ampleur des dégâts et l'argent déboursés est en hausse, c'est dût aux emplacements des villes, l'argent qu'on peut y faire lors des constructions, les souvenirs et le bien-être de la ville. Les gens refusent d'aller habités ailleurs et de repartir une vie nouvelle.  C'est pour cela qu'une catastrophe est appelée une catastrophe, puisqu'elle touche beaucoup de vie humaine et détruits plusieurs habitations. Mais si on décidait d'arrêter ces processus, les ouragans seraient non graves.

RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES

DE SOUZE, Roger-Mark (Octobre 2004), Sur la voie du danger, (En ligne) :  http://www.prb.org/FrenchContent/Articles/2004/Surlavoiedudanger.aspx ( Page consultée le 05 novembre 2012)
Par Geneviève Hoffman , écrit le 3 novembre 2012.

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